Programme

« Prenez parti ! Prenez parti toujours ! Vous vous tromperez quelquefois, mais celui qui ne prend jamais parti a toujours tort. Dieu nous garde des poltrons qui refusent de choisir. » (Robert Heinlein – Double étoile). Si une question vous est posée concernant les homosexuels, les juifs, les noirs, les habitants de banlieue ou du village voisin, n’ayez pas peur de répondre franchement. Actuellement, la majorité des personnes ne dira pas ce qu’elle pense à cause du bien-ensant, nous nous bridons nous-mêmes alors très souvent nos pensées sont très éloignées des excès. Actuellement, le simple phrase : « Ça ne m’attire pas ou ça ne me plait pas » risque de vous apporter l’opprobre. J’ai interrogé mes patients et une fois assurés de ma neutralité de jugement, ils se sont révélés tels qu’ils sont : contre le wokisme, contre le féminisme à outrance, contre la mise en avant des minorités au détriment de la majorité. Quant à la publicité qui est faite à l’école pour à l’incitation des enfants à changer de sexe !

Comme dans tous les domaines, l’État doit limiter ses interventions à des coups de pouce.. Le RSA, la CSS, etc, toutes les aides c’est très bien ; mais elles doivent être limitées et dégressives dans le temps. Il y a des gens qui travaillent pour payer tout ça ! Rien n’est gratuit.

Un homme est un homme, une femme est une femme. Les variations d’origine médicales sont rares et les gènes de la personne ne changent pas. Le reste est une affaire de goût. La tolérance envers les minorités ne veut pas dire que la majorité doit se plier à ses exigences.

Les personnes au pied du mur connaissent fort bien les problèmes. Une personne haut placée et à distance ne peut pas prendre des décisions en toute connaissance de cause. Les décisions européennes ou nationales ne servent la plupart du temps qu’à compliquer la vie des personnes sur le terrain. Arrêtez de vouloir notre bien. Un État ne doit pas et ne peut pas tout réguler !

Le fait d’avoir une armée puissante est un gage de paix, ce n’est pas une raison pour l’utiliser à tort et à travers. Nous avons la dissuasion nucléaire mais une petite armée, seule une armée européenne serait à même de défendre nos intérêts.

Haro sur l’éducation nationale et vive l’enseignement public ! L’éducation incombe aux parents, ils sont responsables de leurs enfants, en cas de mauvaise éducation, il est normal que les parent paient pour les bêtises de leurs enfants.

Le libéralisme économique permet à l’économie de se développer mais surtout aux plus riches de l’être encore plus. Nos charges sur les salaires sont disproportionnellement élevées par rapport à d’autres parties du monde, en plus la délocalisation permet d’avoir un bon bilan environnemental en polluant ailleurs (pollution des terrains à l’acide sulfurique pour la fabrication des batteries, déchets industriels divers, solvants dans les nappes phréatiques pour le gaz de schiste, etc). l’avenir est à un protectionnisme raisonné.

Notre continent s’effondre économiquement. Nos dirigeants cherchent à nous pousser vers une économie de guerre pour masquer cette insuffisance. Seule une énergie abondante et pas chère est le gage d’une économie florissante.

La transition écologique est un échec économique cuisant. La consommation d’énergie des autre pays explose, leur émission de gaz à effet de serre aussi. Depuis trente ans nos émissions en ce domaine sont maitrisées, nous émettons 5 % du CO₂ de la planète, pourquoi vouloir aller plus loin et couler complètement notre économie ? Chaque citoyen de notre pays, voire d’Europe, serai-il prêt à voir son revenu baisser de moitié pour passer de 5 à 4 % ?

Je suis pour l’Europe, pas forcément pour l’Union Européenne. Nous avons la pax europeana mais elle est fragile, chaque pays est à tout moment susceptible de tirer la couverture à lui. L’Europe, tout comme le gouvernement d’un pays, doit fournir à ses citoyens un cadre très lâche et doit aider chaque habitant a ressentir sa double appartenance : à son pays et à la fédération de pays, suppléant à ce que chaque pays ne peut pas faire seul dans son coin : une armée puissante, une police fédérale, une organisation trans frontières, une force de négociation économique face aux autres géants.

Les finances de la France ressemblent à une vaste baignoire constellée de trous par où s’écoulent inutilement des flux financiers énormes. Si les fuites sont trop importantes, on ouvre le robinet des impôts pour tenter de compenser. Si cela ne suffit pas, on ouvre le robinet des emprunts mais c’est un cache misère qui reporte le problème dans le temps. La solution est avant tout de boucher les fuites ! Mais cela n’est pas porteur électoralement, car cela va être très désagréable, surtout si nous nous obstinons à vouloir utiliser des énergies peu abondantes et très chères ! Chaque fuite à boucher va provoquer temporairement une baisse de niveau économique. C’est inévitable car chaque fuite arrose un groupe de personnes, en France ou à l’étranger, si la fuite est bouchée, ils vont devoir chercher d’autres sources de revenus. Quant à fermer le robinet des emprunts, imaginez un ménage qui depuis cinq ans vit largement au dessus de ses moyens grâce à des emprunts successifs. Lorsqu’il faut payer, tout s’effondre. Non seulement le niveau baisse puisqu’il n’y a plus d’argent venant des emprunts, mais faut vivre encore plus chichement que le niveau normal puisqu’il faut rembourser ceux qui ont été faits.

C’est très simple, plus le temps passe, plus la médecine évolue, plus elle devient chère et plus elle permet de vivre vieux et donc d’augmenter le nombre de personnes âgées qui coûtent très cher. Bref, c’est un emballement inflationniste permanent. Évidemment, la société évoluant, les soins deviennent relativement moins cher mais entre le moment où une nouvelle technique apparait et le moment où elle est fiable et accessible à tout le monde, il y a une période où cela est très cher. Merci à l’existence des riches qui peuvent se permettre ce genre de soins et le mettent progressivement à notre portée. Il faut accepter que tout ne soit pas remboursable car trop cher pour la collectivité. Le socle remboursable doit être minimum et évolutif.

Tout ce qui est gratuit est gaspillé. Il faut absolument rétablir un ticket modérateur non remboursable proportionnel aux revenus mais jamais égal à zéro !

Les finances de la France ressemblent à une vaste baignoire constellée de trous par où s’écoulent inutilement des flux financiers énormes. Si les fuites sont trop importantes, on ouvre le robinet des impôts pour tenter de compenser. Il faut d’abord boucher les fuites ! Mais cela n’est pas porteur électoralement, car cela va être très désagréable, surtout si nous nous obstinons à vouloir utiliser des énergies peu abondantes et très chères ! Chaque fuite à boucher va provoquer temporairement une baisse de niveau économique, c’est inévitable. Imaginez un ménage qui depuis cinq ans vit largement au dessus de ses moyens grâce à des emprunts successifs. Lorsqu’il faut payer, tout s’effondre. Non seulement le niveau baisse puisqu’il n’y a plus l’argent venant des emprunts, mais faut vivre encore plus chichement puisqu’il faut rembourser ceux qui ont été faits.

France, terre d’asile ! Oui, mais asile politique et pas économique. Imaginez une carte du monde, sur la France il y a un grand panneau avec inscrit dessus : « Ici, si vous venez tout est gratuit même si vous n’en avez pas le droit. »

Stop à cette publicité, il y a d’autres solutions. Par exemple : Vous voulez immigrer, vous devez gagner votre citoyenneté, montrer que vous aimez la France. Vous devrez vous engager dans l’armée et serez envoyé dans les endroits les plus chauds. Au bout d’un an vous aurez votre carte de séjour.

Il est des personnes qui risquent leur vie pour la sécurité de tous, les policiers. S’ils sont équipés d’armes, c’est pas pour décorer. C’est pour s’en servir en cas de besoin et ainsi nous protéger, nous les citoyens paisibles. Il y aura forcément des dérapages et c’est normal. Derrière ces uniformes, ce sont des êtres humains faillibles pour lesquels le 100 % de réussite est impossible.

Une personne force un barrage, ce pourrait être un terroriste, un trafiquant de drogue ou d’armes. Il faut l’arrêter, on tire. Si une balle tue le délinquant (refus d’obtempérer) ce sera de la faute à la personne qui a forcé le barrage, pas celle du policier qui n’aura fait que son travail !

Si les déliquants risquent leur peau en franchissant un barrage, ils seront moins enclins à le faire.

Despote, tyran, autocrate, tous ces termes ont à peu près le même sens. Celui d’une personne s’étant accaparée plus ou moins de force tous les pouvoirs.

Un dictateur est une personne qui a été désignée pour prendre le pouvoir absolu pour un temps déterminé. En cas d’extrême danger pour le pays, le Président de la République peut s’octroyer les pleins pouvoirs pour un temps très court, cette période pouvant être prolongée sur avis du parlement.

Dans notre pays, il est depuis longtemps question de réformes mais les dirigeants au pouvoir sont en bute à de nombreux obstacles et les envolées lyriques des campagnes électorales retombent vite. Les grands changements se transforment en réformettes. Si, par la volonté du peuple, je suis élu et que je n’arrive pas à mettre en place le présent programme, je demanderai par référendum au peuple qui m’aura élu sur la base de ce programme de me soutenir en me nommant dictateur au sens romain pour six mois renouvelables une fois par nouveau référendum.

Pendant ce temps, les assemblées ne chômeront pas avec toutes les lois à abroger ou à réécrire qui pourrissent la vie des citoyens.

Réformer le domaine d’intervention de l’État. Moins il intervient, mieux cela sera. C’est d’ailleurs un des grands principes de l’économie.

Idem pour l’Europe. Il faut une Fédération Européenne mettant en place un cadre général laissant les détails à chaque État. Ce cadre comprendrait un Président gérant une armée, une administration, une police fédérale. A ce prix seulement les européens deviendront crédibles au milieu des géants actuels : États-Unis, Chine, Inde, BRICS, Mercosur, etc

La Démocratie, tout le monde se gargarise avec ce mot. Il représente pour celui qui se soumet à l’idée que l’on s’en fait actuellement un vernis d’honorabilité. Or, tous les pays ne sont ni faits pour la démocratie, ni prêts pour elle. Les pays africains en souffrent, ils sont tribaux et ne fonctionnent pas bien du tout lorsque la démocratie à l’occidentale leur est imposée . Un algérien m’a dit que son pays n’était pas prêt du tout pour cela. A côté de cela, il existe des pays dits dictatoriaux n’étant en fait que des pays avec un pouvoir fort. Souvent, ces pays le nécessitent car ils risquent autrement une guerre civile. Pensez à la déstabilisation apportée en Irak, en Syrie, en Lybie, en Afghanistan. Il faut accepter les autres pays tels qu’ils sont. S’ils en éprouvent le besoin, un jour, ils en viendront à leur démocratie. En France et en Europe, la démocratie est synonyme de laxisme. La Démocratie est un juste milieu entre l’anarchie et le totalitarisme.

La Démocratie craint deux choses, l’ordre et le désordre. Il me semble qu’avec l’individualisme actuel nous involuions vers la seconde option.

Les élus ont tous un réflexe profondément ancré : pondre de nouvelles lois. Comme s’il n’y en avait pas déjà assez ! La première étape est d’abroger, simplifier, réécrire et éventuellement promulguer des décrets d’application pour des lois qui sont en attente dans les tuyaux.

Sous la Rome antique, le cursus honorum était la succession de postes qu’il était obligatoire occuper afin de pouvoir prétendre à devenir consul. Actuellement, dans beaucoup de domaines le diplôme permet à lui seul l’accès à un poste. C’est aberrant, un juge ne peut l’être avant d’avoir un certain âge et qu’après avoir exercé un autre métier juridique comme avocat, commissaire de police, juriste d’entreprise, huissier de justice, etc. Cela leur donne l’expérience de la vie active et une certaine autorité. Il est absolument nécessaire d’établir un cursus honorum dans beaucoup de domaines. Dans les grandes entreprises familiales, un diplômé ne pourrait pas prétendre devenir PDG avant d’avoir occupé plusieurs autres postes subalternes.